Le séjour
↵Vous avez prévu un trail cet été, ou vous souhaitez d'un week-end sportif ?
Nous avons ce qu'il vous faut !
Partez, en formule liberté, le temps d'un week-end pour un bon entrainement trail
Nous gérons toute la logistique de votre séjour : hébergements, transfert des bagages, topo-guides et cartes... Vous n'aurez qu'a courrir !
Programme
Jour 01 :
Jour 02 :
Dîner et nuit dans le village accueillant de Lans en Vercors.
Jour 03 :
Jour 04 :
Dates / Prix
Ce séjour est potentiellement en cours de mise à jour. N'hésitez pas à nous contacter pour plus d'informations : contact@randoqueyras.com
LE PRIX COMPREND
- l'hébergement en demi-pension,
- le transport des bagages,
- la coordination du circuit,
- l'accès à l'espace détente de votre 1er hébergement
- le carnet de route (fonds de cartes IGN tracés, Pas à Pas, traces GPS à demander à la réservation)
LE PRIX NE COMPREND PAS
- les boissons,
- les pique-niques,
- l'assurance multirisques,
- les frais d'inscription,
- le transport du lieu de domicile au point de départ et retour.
Fiche pratique
ACCUEIL
Appelez 04 92 45 04 29
Accès voiture :
* En venant du Nord via Grenoble : prendre la sortie n°14 "St Egrève Le Fontanil, Sassenage" de l'autoroute A48. Au rond-point, prendre à droite et traverser le barrage sur l'Isère. Suivez alors la direction de Sassenage, Villard de Lans. Au rond-point de Sassenage, commence alors la montée sur le plateau par la D531. Avant Villard, à À Lans en Vercors, au rond point de Jaume, prendre à gauche direction centre du village de Lans en Vercors.
* En venant du Sud par Valence, prendre l'autoroute A49 pour Grenoble. Au rond-point, prendre la sortie n°8 « Aire Royans-Vercors, Villard-de-Lans ». Puis suivre Villard-de-Lans (D 531) par les gorges de la Bourne.Suivez ensuite la direction de Grenoble, Lans en Vercors par la D531. Au rond point de Jaume, prendre à droite direction centre du village de Lans en Vercors.
Attention cet itinéraire est dévié à certaines périodes de l'année (printemps et automne). Nous vous conseillons alors de rejoindre alors Grenoble par l'A49 et de suivre ensuite le descriptif « en venant du Nord ».
Info Routes au 08 92 69 19 77.
Co-voiturage : un moyen de transport économique, écologique et convivial… au départ de chez vous ou d'une grande ville à proximité.Rendez-vous sur : www.blablcar.fr
Accès Train + Bus :
Train ou TGV jusqu'à Grenoble puis bus jusqu'à Lans en Vercors.
Train / TGV pour Grenoble : Horaire disponible auprès de la SNCF sur www.voyages-sncf.com ou par téléphone au 36 35 ou encore sur le site www.dbfrance.fr.
Bus régulier pour Méaudre (ligne 5100 puis 5120).
Horaire à titre d'exemple du bus Transisère : Grenoble 17h - Méaudre 18h21.
Horaires à vérifier auprès auprès de la compagnie de Cars Transisère.
Tel : 0 820 08 38 38 ou www.transisere.fr
Le bus se prend depuis la gare routière qui est attenante à la gare SNCF. Achat du titre de transport directement à la gare routière de Grenoble (en 2019 : 5,90 € le trajet).
Si vous prenez un autre bus, pensez à nous en communiquer l'horaire, afin que nous soyons présents à votre arrivée.
Attention, sachez que le dernier bus de la journée est vers 19 h.
Au-delà, vous devrez faire appel à un taxi (45 km de course, onéreux : env. 95 €).
DISPERSION
Retour Bus + Train :
Vous prenez un bus au départ de Méaudre pour rejoindre la Gare TGV de Grenoble.
Bus régulier pour Grenoble (ligne 5120 puis 5100) :
Horaires à titre indicatif du bus Transisere : Méaudre 16h22 – Grenoble 17h35
Méaudre 17h27 – Grenoble 18h53
Horaires à vérifier auprès de la compagnie Cars Transisère au 0 820 08 38 38, www.transisere.fr
NIVEAU
HEBERGEMENT
Gîte-hôtel, auberge de montagne et hôtel. Chambre de 2 à 4.
PORTAGE DES BAGAGES
GROUPE
DOSSIER DE RANDONNEE
EQUIPEMENT INDIVIDUEL A PREVOIR
L'ensemble de vos affaires est réparti entre un sac à dos léger porté pendant le circuit et un sac de voyage transporté par nos soins. Il est important de privilégier un matériel performant et le plus léger possible, le poids étant l'ennemi du trailer.
En savoir plus
Rappel : 6 juin 1944, les Alliés prennent d'assaut les plages de Normandie et percent le mur de l'Atlantique. Dans le Vercors, où sont établis plusieurs camps de maquisards, le débarquement est le signal de la mobilisation contre l'occupant allemand. Les résistants, de plus en plus nombreux, rêvent maintenant de lutte ouverte.
Refuge et refus : A partir de 1940 le Vercors, situé en zone libre, est un lieu de refuge en particulier pour les victimes des mesures de discriminations politiques ou raciales du gouvernement de Vichy.
Avec l'occupation de la zone sud en novembre 1942, la montagne du Vercors devient également site de résistance pour ceux qui refusent l'idée d'une France soumise. Les réfractaires au STO, le Service de Travail Obligatoire qui envoie les jeunes Français travailler en Allemagne, viennent grossir les rangs des maquis.
Le Vercors, visible de très loin, depuis les portes de Lyon, ressemble à une forteresse naturelle de soixante kilomètres de long sur trente de large. Les résistants s'y sentent à l'abri de la répression qui sévit dans la région.
Le « Plan Montagnards » :
En fait ce plan existe depuis mars 41. Il a jailli dans l'esprit de deux hommes fascinés par les falaises gigantesques du Vercors. Pierre Dalloz et son ami l'écrivain Jean Prévost ont l'idée de transformer le massif en "Cheval de Troie pour commandos aéroportés".
Cette idée prend corps en janvier 1943 : le Vercors interviendrait au moment d'un débarquement allié attendu en Provence et les troupes aéroportées iraient immédiatement porter le combat sur les arrières de l'ennemi. Le projet, accepté par Jean Moulin et le général Delestraint, devient le "Plan Montagnards". Il est approuvé par le général de Gaulle et les Alliés à Londres comme à Alger.
Ce Plan est mis en œuvre par Alain Le Ray puis par François Huet, chefs militaires du Vercors en liaison avec Eugène Chavant, chef civil du Maquis.
Les camps : Dès 1943, la Résistance s'organise dans le massif. Au cœur de forêts, une douzaine de camps existent. Début 1944, ils rassemblent 400 à 500 civils et militaires, souvent très jeunes, ravitaillés par une population généralement favorable, approvisionnés en armes et en médicaments par les parachutages alliés.
Le combat : Le 6 juin 1944, l'excitation est à son comble en France et dans le Vercors, l'ordre de Londres est le signal de l'action générale. Les entrées du massif sont verrouillées. On ne laisse "monter" que les volontaires qui affluent. Ils sont 4 000, début juillet, et ils proclament la République, faisant flotter le drapeau tricolore sur un territoire déclaré "libre".
Ce massif en armes est un défi à l'ennemi. À Grenoble, le général allemand Karl Pflaum décide d'en finir. Après quelques offensives destinées à mesurer la résistance effective du maquis, notamment à Saint Nizier les 13 et 15 juin 1944 et aux Ecouges le 21 juin 1944, il lance le 21 juillet 15 000 hommes de troupe à l'assaut du Vercors. L'attaque est générale, par les routes, par les "pas", ces cols escarpés que l'on ne franchit qu'à pied, et par les airs puisque sur Vassieux se posent les planeurs à croix noires de la Waffen SS là où auraient dû atterrir les alliés. Après une semaine d'un combat acharné mais inégal, le Vercors est à genoux. Plus de 600 résistants et une centaine d'Allemands sont tués.
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